Belle découverte que ce roman signé du duo Hogan et del Toro.
Coups de coeur
Charme et inventivité : “Gagarine” dépeint avec douceur la résistance obstinée d’un adolescent face à l’abandon de sa mère et à la destruction programmée de sa cité.
Le gros papa ours, la grosse maman ours et le petit ourson sortent pour jardiner tandis que leurs bols de chocolat fumant les attendent. Mais qui voilà ? Un intrus, attiré par la bonne odeur, entre dans la maison…
Raizô Hiraga est un vieux fumeur tout juste retraité de la préfecture de police qui a besoin d’argent pour soigner son petit-fils malade. Miharu est une jeune fille fantasque et énergique qui aime les bonbons.
"Comme elle ne savait pas où mettre la chienne, elle la posa sur sa poitrine. Elle se logeait parfaitement dans ses mains et sentait le lait. Une envie terrible de la serrer très fort et de pleurer s'empara d'elle."
Nerveux et peu sûr de lui, Elmore James accepte de rester répéter à l'issue d'une session d'enregistrement de son ami Sonny Boy Williamson. En cachette, l'ingénieur du son déclenche l'enregistrement
Une jeune femme qui se fait percuter par une voiture alors qu’elle se jetait sur la route pour sauver une pieuvre, c’est pas banal ! Et c’est l’événement central de ce roman australien qu’on lit avec beaucoup de plaisir.
Le scénario est savoureux : ellipses sur ellipses, subtiles et travaillées. C’est un partage d’émotions, de sensibilités, de textes sublimes et drôles, de mise en tristesse et en beauté de plusieurs histoires d'amour...
Le Dust Bowl comme si vous y étiez.
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